Contes à ne pas dormir, même debout !

OLIVIER DE ROBERT

OLIVIER DE ROBERT à VIELLE TURSAN :
DES CONTES A NE PAS DORMIR, MEME DEBOUT

 

« Conter, ce n’est jamais que dire avec lenteur les joyeux brassages de la besace à mémoire ». Mais avant de parler, le conteur écoute.

Olivier de Robert aime à se cacher dans les coins des bistrots, les cafés de fond de ruelles, il aime à flâner sur les marchés, glaner les paroles de hasard au bord des chemins, à la boulangerie, auprès des mémés qui attendent l’épicier ambulant.

Dans les hautes vallées des Pyrénées, là où les ours aiment à jouer avec l’âme paisible des montagnards, on se raconte des histoires à faire peur, à faire rire et parfois assez lestes pour faire rougir jusqu’aux vieilles qui croyaient avoir tout vécu !

 

« J’aime prêter ma voix aux taiseux, à ceux qui savent les choses essentielles et n’en disent rien ou presque, de peur de déranger. »

C’est ainsi, en tricotant des bouts de phrases toutes simples, celles qui viennent du fond de l’âme humaine, qu’Olivier de Robert entend son travail de conteur

Quand vient la nuit, dans la forêt, les contes prennent le pouvoir…

 Ceux qui racontent la revanche des petits sur les gros, ceux qui font rire ou rêver, ceux qui disent les frémissements des choses cachées.

 

Olivier de Robert a « brodé » une partie de ses histoires de jeunesse, sur les chemins escarpés du pays ariégeois.

Conter ou raconter, c’est, pour lui, prendre le temps de suivre les chemins buissonniers du rire et du rêve, ceux qui vont, en mille détours, des lèvres aux cœurs…

 

 

Dire l’Histoire quand se taisent les histoires, enclencher la machine à remonter le temps…

Et quand Olivier de Robert  raconte, on va du rire à l’émotion sur le souffle d’une phrase…

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